Le gout du travail : facteur essentiel de la prospérité des entreprises

  • Post category:Actualités

Pour faire progresser l’entreprise, on a besoin de l’engagement des salariés.

Dans cet environnement de crise où l’emploi redevient un bien précieux, jamais la valeur travail n’a été aussi attaquée.

Le gout du travail est pourtant un des éléments moteur de l’entreprise : plus on aime ce que l’on fait, plus on s’investit et mieux on travaille. L’entreprise a donc tout intérêt à valoriser le gout du travail en motivant ses salariés, et cela est d’autant plus nécessaire en temps de crise.

Dans le travail, on ne se contente pas de produire du chiffre d’affaire pour l’entreprise, on travaille aussi pour soi, on se transforme soi-même, on crée du tissu social : voilà autant de paramètres à prendre en compte également dans la valeur travail.

Mais aujourd’hui – crise oblige – la relation de travail est plus tendue, l’ambiance plus stressante, avec le plus souvent un management plus dur et exigent : le risque est de perdre le gout du travail et d’entrer en « résignation acquise » : les salariés pensent que les actions menées ne conduisent pas aux résultats attendus alors qu’ils s’y sont investis : la motivation baisse parfois jusqu’à la dépression.

Les risques psychosociaux ou le « dé»gout du travail

  • Troubles musculo-squeletiques…
  • Stress
  • Burn out (état d’épuisement que le sommeil ne répare pas)
  • Démotivation
  • Harcèlement/Violence au travail
  • Conflit social
  • Souffrances
  • Dépression

L’exigence de la performance est certes incontournable, mais le fait d’exercer une pression exagérée sur les collaborateurs pour réaliser les objectifs n’est pas le comportement le plus performant à moyen et long terme. Certains comportements des collaborateurs peuvent ne pas être motivés par la mauvaise volonté ou l’incompétence mais tout simplement des réactions à des situations jugées intolérables.

Pour sortir de cette situation

  • Réclamer des directives claires et objectifs réalisables avec les moyens pour ce faire, ainsi que le respect de la personne dans les échanges.
  • Rechercher la responsabilité sociale de l’entreprise : le dialogue, la communication et la transparence pour entretenir le climat social.
  • S’assurer que l’entreprise soit attentive au bien être des salariés.

N’hésitez pas à contacter vos délégués pour toute question concernant ce sujet, ainsi que le CHSCT.

Contactez la CFDT…

  • soit par email à cfdt_astek@yahoogroupes.fr
  • soit par courrier à CFDT – UES (groupe) astek -10, rue du dôme – 92100 Boulogne
  • soit en contactant l’un de vos délégués syndicaux

La Confédération Française Démocratique du Travail n’est ni catégorielle ni confessionnelle. Beaucoup plus de cadres des secteurs privé et public adhèrent à la CFDT qu’à n’importe quelle autre confédération.